Elle est devenue Maîtresse libertine

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il y a 8 ans

Elle est devenue Maîtresse libertine

Ce super texte de felix03 me fait énormément fantasmer.

Internet c'est génial ! Mais quelquefois on va un peu plus loin que l'on voudrait et on se trouve piégé involontairement. J'avoue que cela m'est arrivé et que tout compte fait, je ne le regrette pas. Cela m'a permis une révélation.

Un jour où je pianote sur un site plutôt SM, mon épouse me surprend. Elle est assez ouverte mais quand même ça la choque un peu. Elle m'ordonne d'interrompre la communication.

Je m'écrie : "Laisse-moi regarder, je discutais avec un homme qui proposait de prendre sa femme devant lui, le mari."

Elle me regarde droit dans les yeux et me dit : "Qu'as-tu répondu ?"

Je lui dis que je n'ai pas encore répondu.

Elle ne me croit pas. J'arrête de surfer et on n'en discute même pas.

Avant de continuer, je veux juste vous dire que ma femme a 50 ans, mesure 1m68 pour 78 kg et qu'elle est vraiment superbe avec de très beaux seins, et surtout un "cul de reine" comme j'aime le dire et son tatouage proche de son sexe toujours épilé comme j’aime.

Quelques jours après, un couple de nos amis nous invite pour dîner. Après un repas bien arrosé, notre hôte nous convie à voir des vidéos un peu scabreuses ou un autre homme baise son épouse devant lui. Ce qui me fait penser à l'annonce sur Internet.

On sort de la soirée, bien excitée.

Une fois couchée, mon épouse me reparle du film. Aussitôt, je me mets à bander.

Elle s'en aperçoit et me dit : "Tiens, cela a l'air de te faire de l'effet, tu aimerais que je le fasse devant Toi ? "

Je grogne une réponse incompréhensible, mais ma queue est dure comme une barre de fer, ce qui trahit mon excitation pour elle.

Quelques jours plus tard ma Maîtresse me propose elle-même de surfer ensemble. Nous nous amusons comme des fous, et plusieurs jours durant on taquine les Forums et les "tchats".

Puis voilà qu'un jour on tombe sur le même internaute.

Maîtresse toute excitée me dit en m'attrapant les testicules : "Je suis sûre que ça te plairait d'être spectateur, je me délecterais de ton regard." Je bande. Elle jubile...

Quelle n'est pas ma surprise quand elle prend un rendez-vous avec ce monsieur.

Elle prétend que cela va mettre du piment dans notre vie. Le soir arrive, nous allons au rendez-vous, dans un petit bistrot discret.

Le type est là.

Grand, mince, d'allure aisée, trente ans maximum.

II déshabille ma femme des yeux.

Après avoir pris l'apéritif, il nous propose d'aller dîner dans un restaurant. Le repas terminé, ma femme lui dit tout de go : " Si nous parlions de choses sérieuses, choses pour lesquelles nous nous sommes rencontrés. " Et aussitôt nous partons pour son appartement.

Ascenseur, entrée dans l’appartement et mon épouse n'attend pas qu'on l'invite à se déshabiller. En un clin d'œil, elle est presque nue dans le salon, juste son soutien-gorge rouge en dentelle transparente mets ses seins en valeur et surprise elle porte un string assorti qui magnifie ses fesses .

L'homme siffle, admiratif.

Eh ben, si vous êtes au rapide que gourmande ?

Ma Maîtresse se tournant vers moi me dit : "Chéri, déshabille-toi enlève ton blouson, tu seras plus à l'aise pour me voir baiser."

Pendant ce laps de temps, le gars s’est déshabillé rapidement. Il est bien proportionné, les couilles bien accrochées, la verge assez longue et d’un beau diamètre.

Maîtresse va vers lui et lui caresse la queue. II bande aussitôt.

Je la regarde et me dit : elle est bien grosse.

Maîtresse ne va pas être frustrée, elle qui aime être remplie, elle ne va pas être déçue.

Elle s'apprête à me faire passer la plus longue soirée d’envie, et ça va se passer là maintenant sous mes yeux ! Je vois l'excitation lui rougir la figure. Je m'étonne de ma passivité, mais je comprends qu'une certaine curiosité malsaine me retient.

Maîtresse montre un empressement qui me choque un peu, elle si timide habituellement. Elle se colle au mâle et l'embrasse. La verge de son amant est devenue énorme, le gland est largement décalotté et plus gros que le diamètre de la tige. Elle prend les testicules de l'homme dans une paume et de l'autre main attrape le mandrin et absorbe difficilement dans sa bouche gourmande la pointe du morceau.

Je crois que je n'ai moi-même jamais tant bandé.

Quelle « salope », je ne l'aurais jamais cru capable de faire ça devant moi. On dirait que cela décuple son plaisir de me voir les regarder se frottant l’un l’autre. Ils s’embrassent, se caressent la chaleur de leurs corps les excitent de plus en plus.

Ils se dirigent tous les deux vers un lit.

Je les regarde tous les deux au travers de la porte grande ouverte. Mon sexe est dur et gonflé dans sa cage de chasteté que Maîtresse avait pris le soin de me mettre avant de partir, serait-il possible qu’elle avait prévu que je ne résiste pas à me joindre à eux.

Le mec se couche sur le dos et dit : "je vois que tu es une belle salope, et bien chevauche-moi, ça ne sera que meilleur et plus excitant aux yeux de ton mari."

Maîtresse lui lèche le sexe, le masturbe vigoureusement pour obtenir une belle érection de son amant. Le sexe de son amant est bien droit et dur comme elle aime. Il mouille de délectation et savoure de son bien-être. Il geint par les émois torrides de Maîtresse tout en passant délicatement ses mains à la chute de ses reins sans oublier au passage ses fesses.

Je la regarde et elle s'empale lentement mais profondément sur sa verge, les cuisses largement ouvertes, pour être prise plus profondément. Son amant lui caresse les seins, lui pince ses tétons avec fermeté obtenant d’elle des gémissements intenses. Je ne comprends pas, elle si sensible des tétons, comment ne dit-elle rien.

Maîtresse me tourne le dos, je vois ses reins se creuser et ses fesses montent et descendent sans interruption, son sexe dilaté dévore ce phallus, elle n’hésite pas d’accélérer les pénétrations. Cela ne s’arrêtera jamais à en croire sa gourmandise. Son amant lui claque les fesses à plusieurs reprises pour en profiter le plus longtemps possible, mais rien n’y fait. Elle s’empale toujours avec vigueur sur ce membre dur et bien droit.

Je suis subjugué par ce que je vois, je ne comprends toujours pas comment cette femme si douce, si passive habituellement, est-elle aussi acharnée sur cette homme d’un soir.

Maîtresse ouvre la bouche, exhale des soupirs, s'agite et au bout d'un moment crie sa joie, les joues cramoisies, les yeux révulsés et la bouche grande ouverte. Elle s'affale sur le mâle et l'embrasse à pleine bouche. "Oh, que c'était bon", s'écrie-t-elle.

Le gars lui fait remarquer que son jus a coulé abondamment sur ses couilles, que le lit est trempé. En effet une large tache de cyprine s'étale sur les draps. Elle n'avait jamais autant joui. Serait-ce d’être regardée ou vient-elle d’assouvir un de ses fantasmes, qu’elle n’ose jamais avouer. Je ne le saurais jamais mais avec qu’elle fouge s’est-elle envoyer en l’air.

Maîtresse heureuse et souriante enfile sa jupe et son tee-shirt, puis nous partons. Le retour en voiture est silencieux. Chacun essayant de remettre ses esprits en place. Au lit, on commence à parler de la soirée. Conséquence, une érection terrible bloquée par la cage. Elle me le fait remarquer et ajoute : "II faudra recommencer."

Depuis ce jour, elle s'habille d'une manière plus provocante, plus sexy. Minijupe, porte-jarretelles, bas avec des dentelles, soutien-gorge pigeonnant...

Le lendemain, je l'attendais. Je lui demandai d'où elle venait ; seule réponse une formidable paire de gifles qui me fit vaciller. Je tombais à genoux en gémissant.

Elle me regarda droit dans les yeux et dit : "je vais te dresser, tu veux être soumis". Soulevant sa robe jusqu'à la taille, elle m’ordonna : "lèche-moi"

Je restais interloquée, je reçus une nouvelle paire de gifles, elle m'attrapa par les cheveux et me maintint ma bouche contre son sexe démuni de culotte. Je me sentais vaincu et servilement, je me mis à la lécher. L'odeur de son sexe m'excitait, j’étais comblé.

Je léchais avec avidité, elle s'en aperçut, m'insulta et jouit dans ma bouche.

"Puisque tu aimes être soumis, à partir d'aujourd'hui tu feras ce que j'exigerai de toi. Je veux que mes amants viennent me faire l'amour ici. Tu seras notre servante et comme ma copine me disait: il faut qu'il soit à ta disposition et pour cela, il te faut le dresser durement à la cravache ou au martinet, même en présence de tes amants."

Depuis ce jour, ma femme ne m'appelle plus chéri mais soumis Félix pendant les soirées coquines, et à chaque fois j'ai un début d'érection sans la cage elle en profite pour m’exciter sans se donner, heureusement elle utilise mon sexe lorsqu’elle a envie d’être prise mais uniquement à sa demande.

Et puis maintenant, je suis régulièrement attaché, ligoté, fouetté et j'en bande à éclater la cage de chasteté. Le fouet ou la cravache, ça fait mal, Je crie, je supplie, mais tout compte fait je suis comblé. Elle ne lâche plus rien malgré les douleurs, elle continue à me dresser éprouvant de plus en plus de satisfaction à le faire.

Est-elle devenue une Maîtresse ! Une femme totalement libre sexuellement !

Elle n’hésite plus à me priver des certains de mes sens, me bâillonne, me bande les yeux, me bouche les oreilles pour être encore plus réceptif à ses idées perverses qui lui viennent. Elle me masturbe, me griffe sans me faire partir et je jouis après comme un damné en me masturbant devant elle quand elle m’autorise.

Je suis dérouté mais envahi d’une joie immense d’avoir une telle femme.

Son jeu préféré : me prendre la bite pour la rapprocher de celle de son amant, afin de comparer les tailles et le degré de rigidité, ça l'amuse beaucoup car je suis assez court.

Elle a l'intention de me faire prendre par des mecs qui aiment baiser les époux complaisants, elle cherche ces garçons sur internet.

Vous voyez jusqu'à quel point je suis devenu son soumis, mais je l’aime Ma Maitresse de tout mon cœur.

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